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 Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails)

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Viviana Trevisan

Viviana Trevisan


Messages : 64
Date d'inscription : 14/07/2009

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MessageSujet: Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails)   Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails) Icon_minitimeMar 14 Juil - 2:29

□ ■ ▄ ▀ .... ◊ Présentation ◊ .... ▀ ▄ ■ □

Vous-même

● Votre prénom : Vincent

● Votre âge : 21 ans

● Comment avez-vous connu le forum : par l’intermédiaire du partenariat entre ce forum et le forum Star Wars : Dark Side Strikes

Votre personnage

● Surnom : Aucun

● Nom : Duval

● Prénom : Dominique

~

● Pouvoir : Aucun

● Limitation : Aucune

● Capacités spéciales/Aptitudes : Fervente partisane de la technologie laser ou de toute autre technologie de pointe en général sans toutefois nécessairement en comprendre les tenants et les aboutissants, la général Duval s’est fait une solide réputation pour voir d’un coup d’œil les défauts ou faiblesse de tel ou tel appareil dans l’arsenal expérimental qui est à sa disposition, avec la bénédiction du premier ministre du Canada, du DSFAC (Division Spéciale des Forces Armées canadiennes). Pour répondre à la crise en cours, il lui aura fallut se faire plus qu’une militaire. Elle a dû se faire scientifique et pratiquement inventrice pour trouver de quoi contrer efficacement un ennemi au visage changeant et à l’arsenal à tout le moins surprenant pour ne pas dire insaisissable par moments. Ne faisant aucune confiance aux firmes privées ou nationales, des cibles trop faciles pour une infiltration par l’ennemi, elle a donc procédé à la construction d’un département de la recherche et du développement au sein même de ce qui constitue désormais le centre de commandement du DSFAC, au centre de ce que l’on appelait jadis Grosse-île.

Stratège et tacticienne de génie, elle n’a pas non plus de problème avec les décisions éclairs, l’anticipation de manœuvres ennemies et la création de plans de secours d’urgence. Habituée à servir tant dans l’action que de façon indirecte au niveau des différents conflits majeurs dans lesquels le Canada a fini par se retrouver, elle semble toujours avoir une longueur d’avance sur ses adversaires grâce à un usage extensif de l’arsenal technologique moderne dont dispose le Canada. Ne mettant jamais ses œufs dans un même panier, elle a toujours en tête plusieurs scénarios et il est assez rare qu’elle se retrouve prise de cours. Dans ce genre de situations exceptionnelles, son brillant cerveau se charge d’improviser pour se sortir du guêpier et si possible, faire tourner la situation à son avantage. Cependant, comme elle sait très bien que gagner n’est pas ce qui se produit bien souvent dans la vie, elle a toujours une porte de sortie, un plan de retraite voire de reddition si tout échappatoire s’avère inexistant. Pour elle, la mort est l’ultime issue pour échapper à l’ennemi et une avenue qu’elle n’est pas prête d’explorer. Cela surprend t’il quelqu’un si on a Dominique Duval en haute estime et ce de par le monde? Il est, après tout, l’homme de toutes les situations selon le Devoir…

Enfin, non content d’avoir des affinités avec la technologie et la stratégie, elle ajoute à son panel une tendance fortement marquée pour ce qui fait d’elle un survivaliste confirmée mais dans la branche plus personnelle de la chance. On ne parle pas ici de survivre à une bombe nucléaire mais de transformer des objets courants en matériel de survie et pour son cas, de survivre tout court : les attentats contre elle sont nombreux, tant par des rivaux que des anciens ennemis du champ de bataille ou des terroristes de toute faction confondue. On l’a d’ailleurs surnommé Dominique « MacGyver » Duval au sein du département de la recherche et du développement du DSFAC, ce qui a à tout le moins le mérite de faire sourire la général, chose assez rare d’ailleurs. Certains jaloux appellent son « don » de la chance pure et simple car Dominique n’est pas une scientifique de formation et n’a d’ailleurs jamais eu de réelles compétences dans les divers domaines de la science mais comme elle le fait souvent remarquer « nous disposons aujourd’hui d’une multitude d’outils d’apprentissage qui font le bonheur des curieux, jeunes et moins jeunes, dont je fais partie. » A-t-elle un jour déclaré en entrevue avant d’ajouter ceci : « À vous de voir à quelle catégorie des deux j’appartiens! ». Une chose est sûre : le « bricolage » est une chose mais ce n’est pas une garantie définitive de survie et Dominique le sait très bien… Et plus qu’on pourrait le croire!

Son armement : Une paire (donc deux) de Calico M100 (Pistolet mitrailleur léger à chargeur de 100 balles de calibre .22LR ayant une portée de 150 mètres, seul matériel militaire « non canadien » utilisé par la général) qu’elle porte sur elle lorsqu’elle doit sortir sur le terrain, préférant la manœuvrabilité et la fiabilité de ce genre d’armes aisément dissimulables à un fusil mitrailleur plus puissant certes mais bien plus visible et plus encombrant d’un autre côté. Et quand vous devez donner la chasse à quelqu’un, c’est la rapidité qui sera votre alliée bien plus que de faire feu à tout va en essayant vainement de toucher un ennemi en fuite avec un minimum de connaissance des armes.

Elle dispose aussi de son arme de service, un Browning Hi-Power modifié (Pistolet automatique moyen à chargeur de 15 balles (au lieu de 13 projectiles) de calibre .40 S&W ayant une portée de 50 mètres), ayant reçu l’autorisation de ses supérieurs pour pouvoir avoir de quoi surprendre l’ennemi qui pense avoir à sa merci un ennemi ayant vidé un chargeur de dix-huit balles. C’est un avantage négligeable dans un combat, deux balles de plus, mais un avantage quand même. Dominique Duval le dit toujours : pour enrayer un mécanisme, il vous fait un grain de sable et c’est le bordel. Dans un combat, ce sont des petites choses comme une bête modification de chargeur qui peut faire la différence entre votre vie et votre trépas. »

Fait à noter, pour ses déplacements terrestres, elle dispose d’un RG-31 Nyala tout ce qu’il y a de plus militaire (mais bien sûr avec tout les extras que le véhicule pouvait avoir, on est amant de la technologie ou on ne l’est pas), celui-ci disposant d’une mitrailleuse sur le toit, un véhicule tout ce qu’il y a de plus classique donc. Ce RG-31 Nyala noir ne porte aucune distinction particulière le rattachant à tel ou tel service mais on peut presque savoir d’instinct qu’il s’agit du sien. Peu de gens, après tout, dédaignent la limousine officielle ou le dernier modèle de voiture de sport pour un véhicule au design si hideux aux yeux de la haute société. Cependant, Dominique Duval n’a jamais été du genre à être une amoureuse du luxe et tant qu’elle aura la possibilité de protester, elle refusera tout autre moyen de transport.

Pour ce qui est des autres types de déplacements, elle dispose d’un hélicoptère Bell 412 (la version Military 412 SP donc « custom ») qu’elle a fait modifier pour qu’une seule personne ne soit nécessaire pour le faire fonctionner à plein rendement, armement inclus. Préférant voyager seule pour ne pas mettre en danger un éventuel garde du corps, elle représente cependant une cible de choix pour ses ennemis et elle a dû faire réparer à plus d’une occasion son fidèle appareil après un échange particulièrement musclé et un combat aérien acharné. Évidemment, un hélicoptère ne fait pas le poids contre un chasseur, ce qui fait un choix de véhicule aisément contestable mais essayez de maintenir en vol stationnaire un chasseur à décollage vertical pour surveiller les environs d’une zone donnée…

Pour conclure, il n’y a pas de réelles fantaisies dans l’équipement et l’armement dont dispose la général Duval. Il va de soi qu’elle ne prend ni son RG-31 Nyala ni son hélicoptère pour le plaisir de la chose et qu’ils ne lui servent pas à tirer sur tout ce qui bouge. On la verra par conséquent davantage avec son arme de service qu’avec autre chose, ses deux Calico M100 inclus, ce qui fait que malgré le fait qu’elle soit bonne combattante, elle n’est pas invulnérable. Elle le sait et elle en est parfaitement consciente. Qui plus est, même dans un de ses véhicules, il existe plus d’une faille à un appareil et bien sûr, il existe une panoplie de dons chez les mutants pour transformer l’ensemble en débris…

~

● Camp : Armée canadienne, rattachée à la DSFAC (Division Spéciale des Forces Armées canadiennes)

~

● Description physique et psychologique : Pour une militaire de seulement 44 ans, il s’avère que la général Duval a toujours été vieille avant l’âge sur un plan plus psychologique que physique et certains verront dans ses yeux gris le regard du vieux vétéran qui en a trop vu. C’est une grande femme dans tous les sens du terme (1 mètre 90 centimètres), taillée par des années d’entraînement quotidien qui aurait davantage eu sa place chez les riches femmes fatales que chez les militaires. Les cheveux roux toujours détachés et toujours impeccablement peignés, on pourrait s’attendre à ce qu’elle commence à grisonner mais il n’en est rien. Point de signes véritables de vieillesse chez elle bien que certains signes sur son visage, dus en grande partie à un stress omniprésent et à la fatigue inhérente à tout haut officier, pourraient suggérer autrement. « En fait c’est plutôt le contraire : on dirait que j’ai l’air plus jeune que vieille, c’est bluffant… », pour citer ses propres paroles. Et gare à celui qui dira le contraire car Dominique Duval n’est pas femme à plaisanter sur son âge ou sur une éventuelle faiblesse chez elle. « Je ne peux me le permettre, la nation a encore besoin de moi. » a-t-elle un jour affirmé en entrevue pour Radio Canada.

Son style vestimentaire est presque exclusivement militaire ou formel et Dominique Duval a bien du mal à se fondre dans la masse. D’une part parce que sa carrure et sa grande taille rendent la chose difficile et d’autre part à cause de son attitude et de sa démarche très militaire. Le mot détente semble venir uniquement avec un ordre et l’humour n’est pas chose qu’elle apprécie tout particulièrement. Elle sait reconnaître quand les gens ne sont pas sérieux mais elle risque de s’en formaliser, habituée à gérer des situations où l’hésitation est synonyme de mort pour des dizaines voire centaines de personnes. Que l’on n’aille pas se leurrer : elle est parfaitement capable de parler d’autres choses que son travail mais elle n’est pas du genre à rechercher la compagnie des autres. De façon générale, ceux qui sont au sommet cherchent la compagnie des autres pour se sentir moins seul. Dans son cas, elle tient à rester seul pour ne pas imposer son fardeau à d’autre. Un de ses homologues disait un jour que Duval était comme un vieux loup solitaire, avec son regard perçant, sa posture toujours tendue comme prêt à bondir sur un ennemi invisible… Un de ceux qui a vu le front avec lui l’a plutôt défini comme un cafard humain : « Elle est impossible à tuer, ne tombe jamais malade même quand le régiment se vomissait les trippes et j’ai même entendu dire qu’elle avait bravé les radiations générées par un obus à l’uranium allégé pour sauver un des soldats de notre unité! » Rapportait l’homme lors d’une entrevue toujours effectuée par Radio Canada. Cette révélation a fait froncer bien des sourcils et on suspecta la général Duval d’être une mutante mais il n’en est rien. Elle est pure humaine et la nature lui a simplement donnée une résistance accrue à tels et tels éléments.

Enfin, si dans le civil elle ne passe pas inaperçu, il faut savoir qu’en mission, tant en les dirigeant depuis une salle de commandement qu’en y prenant par (un grade ne l’a jamais empêché de retourner « jouer dans la boue » avec les soldats) elle devient un vrai fantôme sur le terrain. Le surnom le plus utilisé quand on parle de Duval est « le caméléon ». Elle sait se fondre dans n’importe quel rôle que l’appareil militaire exige, trouver des solutions avec la même aisance que l’animal ne change de couleur. C’est ce qui en fait un personnage à ne pas sous-estimer et ceux assez inconscients pour l’avoir fait on eu la très désagréable surprise de constater que si Dominique Duval jouit d’une couverture médiatique qui aime espionner ses faits et gestes, l’information, la vraie, ne vient pas de la télévision ou des journaux…


Dernière édition par Dominique Duval le Mar 14 Juil - 2:34, édité 2 fois
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Viviana Trevisan

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MessageSujet: Re: Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails)   Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails) Icon_minitimeMar 14 Juil - 2:30

Côté habitudes vestimentaires, la général Duval n’a pas le temps de suivre la mode et ses tendances. Un uniforme, voilà tout ce qu’il lui faut pour l’habiller. Quand elle est forcée de le quitter pour se rendre dans le civil, elle porte soit un tailleur noir qui lui donne l’air d’une PDG d’entreprise ou l’équivalent civil en mode de la tenue militaire (vous savez, ces espèce de pantalons aux couleurs de l’armée?). Cela la rend extrêmement visible mais Duval sait se défendre seule et ne va pas commencer à changer son garde-robes très limité pour une si petite considération. Elle est, après tout, au service de la nation, pas au service de la mode, comme elle le fait remarquer quand on critique son style. D’ailleurs, s’il y a bien un truc qu’elle ne comprend pas c’est bien la mode. Toutes ces coiffures, tatouages, piercings et autres… Pour elle, le seul luxe qui devrait être autorisé sur un style donné correspond au type de montre et à la monture des lunettes. Elle-même n’en porte pas, ayant une vision d’aigle et pour la montre, elle porte une Timex Ironman Datalink USB tout ce qu’il y a de plus simple. « Si nos astronautes s’en servent, si des gens ont mit des énergies pour faire un produit si efficace, je serais stupide de me montrer conservateur sur la mode au point de refuser d’encourager une invention si intéressante! », affirma t’elle d’ailleurs quand on s’interrogea sur le pourquoi du comment elle avait troqué sa montre à aiguille pour une montre digitale. « Les montres, ce ne sont pas comme ces étrangetés que l’on voit avec la mode. L’aspect pratique prime sur le design, les tendances et tous ces trucs mielleux et débordant de subjectivité. Qui plus est, elle se marie admirablement bien avec mon uniforme! », ajouta t’elle au cours de la même entrevue, surprenant la moitié de la salle avec ce trait d’humour si inattendu d’une femme si sérieuse.

Parlant de l’uniforme en question, elle porte toujours l’intégral de l’uniforme, médailles en moins et pour cause : des distinctions, elle en a des tas. Elle les garde pour son uniforme d’apparat et ne cesse de répéter que l’officier qui ne sait pas rester humble devant les autres, soldats inclus, mériterait de manger ses galons, ses rubans et ses médailles par un autre orifice que la bouche. Cette affirmation virulente fit rire et sourire bien des gens mais offensa profondément la branche conservatrice et élitiste de l’armée. Ces derniers intentèrent un recours collectif de plainte contre la général Duval qui s’en sortit blanchit. Et à chaque cérémonie, la même scène se répète toujours : Dominique Duval veut se présenter avec son uniforme d’apparat uniquement. Son aide de camp insiste pour qu’elle mette ses médailles et tout le reste. Duval s’entête. L’aide de camp, très patient et habitué à ces « enfantillages » insiste de nouveau. Duval entre dans un état de grande colère, tempêtant comme quoi il est injuste de porter une médaille que chaque soldat moindrement patriote devrait avoir. L’aide de camp contre l’argument en disant que la vie est injuste. Et la grande finale : Duval renifle de dégoût et met sur son uniforme les médailles et tout le bataclan en grommelant contre celui qui a eu l’idée de faire un système aussi idiot. Dans son habillement civil, c’est à peu près la même histoire. Dominique Duval est une amoureuse des cravates. Elle en a toujours une avec son uniforme et pour elle, il est normal d’en porter une avec un tailleur. Mais encore là, certaines occasions nécessitent le nœud papillon que la général a en horreur, ronchonnant à qui veut bien l’entendre qu’elle ne comprend pas pourquoi la bonne vieille cravate ne fait pas l’affaire. Gamine quand vient le temps de s’habiller pour les grandes occasions? Assurément! Et même le psychologue qui l’eu un jour en observation est incapable de trouver une explication logique à ce comportement. Il semblerait que certaines personnes soient plus pointilleuses que d’autre sur ce qu’elles portent… Surtout dans le cas de Dominique Duval!

Petit fait divers sur notre général : Dominique Duval n’est pas le genre de femme à le crier sur tous les toits mais elle a un problème de sommeil, ce qui fait qu’elle ne récupère pas autant ou de la même façon qu’un être humain ordinaire. Hostile à toute médication pouvant l’aider à dormir (clamant haut et fort qu’on ne fera pas d’elle une junkie des médicaments à ceux qui sont au courant de ce problème), elle semble pourtant ne pas trop en souffrir. Certaines rumeurs très persistantes font état de cauchemars récurrents qui hanteraient ses nuits depuis son dernier retour du front, dans des circonstances tenues secrètes et très floues. Certains parlent de paranoïa, de peur qu’un mutant ne vienne tenter de lire ou posséder son esprit pendant que son esprit est moins alerte tandis que d’autre soutiennent la théorie de la peur de l’assassinat.

La vérité se situe sans doute quelque part entre ces options ou elle pourrait simplement être de nature biologique ou neurologique. Quand on connaît la confiance qu’elle accorde au personnel médical, il ne faut pas s’étonner que son dossier médical n’indique rien de plus que le nécessaire. On la vit même un jour quitter l’infirmerie de la base, en colère, torse nu et son haut d’uniforme sous le bras, tempêtant comme quoi on ne formait plus des médecins mais des bouchers humains et des docteur Frankenstein. Elle refusa ensuite de remettre les pieds dans l’infirmerie tant qu’un primate avec un couteau en aurait la charge, ce qui força au transfert du médecin de la base (qui fut plus tard jugé devant le tribunal militaire pour franche incompétence) et qui fit en sorte que malgré la promesse que la personne en charge avait fait ses preuves, elle refusa d’y repasser sauf pour mise à jour de dossier. La seule autre exception en dehors de sa visite annuelle fut quand ses hommes menacèrent de se révolter si elle ne se faisait pas soigner : couverte de sang et avec trois balles dans le corps, elle n’aurait certainement pas pu survivre sans assistance médicale malgré ce que la général puisse en dire.

Mais ces anecdotes nous écartent du grand problème de la général qui est incapable de dormir. Encore une fois, cela souleva la possibilité qu’elle soit un mutant ce qui n’est toujours pas le cas. Des exceptions au genre humain qui ne sont pas mutants ne courent pas les rues certes mais elles existent bel et bien. Ce qui est son cas. Bonne ou mauvaise chose, il serait compliqué et ardu d’en juger mais les faits sont là et bien réels. Ou tout du moins, suffisamment réel pour que le trouble du sommeil du général Duval soit accepté et reconnu de tous dans l’appareil militaire canadien. Et la plupart de ses subordonnés profite de cette particularité de leur officier de commandement pour aller s’entretenir personnellement avec elle la nuit venue sur toute sorte de sujets, allant des relations amoureuses à leurs craintes sur le futur ou leur philosophie face aux récents événements. Et cela n’indispose pas la général Duval car cela comble la solitude de ses nuits et l’ennui mortel de ces dernières. Quand elle ne prodigue pas attention ou conseils, elle en profite pour faire avancer ses dossiers ou encore aller faire un tour dans la ville endormie, « déguisée » en civil, prenant le temps de réfléchir à sa place sur l’échiquier qui se dessine. D’un côté, elle ne peut pas parler ouvertement de la DSFAC car cette initiative du gouvernement se doit de rester secrète des autres corps d’armée pour ne pas créer un courant contraire et extrémiste de la part des militaristes. Et traiter avec les mutants est chose hasardeuse. Même parmi les modérés, il arrive que les opinions ne se rejoignent pas et pour cause : entre ce que le gouvernement, Duval et les mutants veulent, il y a des gouffres, des mondes même. Souvent elle se demande si ce trouble du sommeil n’est pas une malédiction car ce dernier lui laisse trop de temps pour penser et réfléchir…

Côté idéologie, la général Duval n’a qu’un objectif en tête : assurer la survie de la race humaine, quel qu’en soit le prix. Si pour se faire elle doit exterminer les mutants, soit ce sera chose faite. Elle espère ne jamais en arriver à cet extrême mais la militaire sait que certaines guerres ne se gagnent ni avec la bonne volonté ni avec les mots et elle sait que tôt ou tard, l’une des deux races devra éliminer l’autre pour sa survie à cause de radicaux dans les deux camps. Il n’en demeure pas moins que sa priorité est d’éviter la perte de vies inutilement et elle a fort à faire pour garder ses troupes à l’ordre. Commander et coordonner tant de soldats aux points de vue différents n’a rien mais alors là rien de simple ou de facile, surtout quand un esprit de revanche s’installe chez les troupes.

Femme d’honneur et de principe, elle sait par contre se montrer franchement inhumaine quand la situation l’exige. S’il faut pour trouver la solution à la fin de la guerre perpétrer les pires atrocités, elle les commettra elle-même pour ne pas salir les mains des autres. C’est une officier qui n’a pas oublié qu’elle fut jadis soldate et sa priorité est de faire le moins de morts possibles dans son propre camp. Elle préfère donc la stratégie à l’initiative aveugle et cela la met en froid avec plusieurs autres généraux qui voient en elle une pacifiste plutôt qu’une modérée. Cependant, tous la respecte et si tous n’adhèrent pas à son idéologie, ceux qui désapprouvent suivent les ordres malgré leur réticence. Pour elle, exercer trop de pression sur les mutants n’amènera qu’une chose : une escalade de violence qui finira par une implosion de toutes les agglomérations importantes du globe, là où le ratio humain/mutant est le plus important. Après le « cas Montréal », elle tient plus que tout à éviter l’anarchie et le chaos et son regard comme celui de bien d’Autre est désormais braqué sur Toronto, la ville la plus peuplée.

Sa nature prudente et secrète contribue à renforcer le mystère qui l’entoure. Fidèle à ce qu’elle a apprit jadis dans les forces spéciales, la général Duval sait qu’un bon chef se doit de révéler le moins de détails possibles qui pourraient contribuer à donner un avantage à l’ennemi. Ce n’est donc pas étonnant de voir les mesures de sécurité draconiennes prises pour garder secrète l’existence du DSFAC. Dominique Duval sait qu’après des cas comme William Stryker ou cette affaire de substance pour ramener les mutants au stade humain, ce n’est qu’une question de logique pour déterminer que le camp ennemi met tout en œuvre pour trouver tous les indices des agissements des gouvernements du monde contre eux. Avec les récents changements dans les politiques canadiennes, ce n’est qu’une question de temps avant que certains commencent à s’intéresser à ce qui se passe dans le pays voisin des États-Unis d’Amérique… Et le poids de ce secret repose sur les épaules de cette seule femme, poids écrasant mais qu’elle est bien déterminée à porter jusque dans la tombe.

Ceci étant dit, Dominique Duval croit également qu’une des clés dans la résolution de ce conflit est d’aller prendre le pouls de la population. Pas par personne interposée comme un analyste ou un journaliste. De personne à personne. Comme général, elle est très bien connue. Son changement d’affectation non. Donc c’est le personnage qui ira parler à la population et négociera. La personne, la chef du DSFAC, elle, se chargera d’analyser cliniquement tout ce qui se dira. Car Dominique Duval sait faire la différence entre elle et le rôle qu’elle doit assumer. C’est ce qui la rend si difficile à lire par ses ennemis d’ailleurs (mais pas illisible). Enfin, la général Duval est par principe très objective sur la tournure des événements. Autant elle peut être pendant un instant optimiste que la seconde suivante pessimiste, ce qui en fait dans une certaine mesure une femme instable mais dont les valeurs restent stables et fortes malgré tout.
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Viviana Trevisan

Viviana Trevisan


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MessageSujet: Re: Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails)   Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails) Icon_minitimeMar 14 Juil - 2:32

En ce qui a trait à sa psyché maintenant, on peut dire que Dominique Duval fut jadis une femme qui avait le rire facile et qui prenait la vie à la légère. Aujourd’hui, c’est une femme sérieuse et chaque action qu’elle pose lui apparaît comme lourde de conséquences. Autrefois elle avait beaucoup d’espoir pour l’avenir de la race humaine. Aujourd’hui, seule sa survie lui importe. Le fait qu’elle survive fut grandement diminué par la réaction excessive, négative et raciste de ses congénères humains. Dominique Duval est aujourd’hui une femme vieille avant l’âge, psychologiquement, dont l’armure émotionnelle est sérieusement fissurée. Elle se rappelle encore de sa dernière mission où le Canada a faillit à sa réputation internationale de force défensive. Et si les détails en sont classé secret, elle n’a pas oublié ce que les soldats qui ne faisait pas partie de sa division ont perpétré comme horreurs ce jour là. Elle peut, si la situation l’exige, se faire inhumaine. Mais ce n’est pas dans son modus operandi ni dans ses intentions d’ailleurs.

Car si Dominique Duval a pour mandat de protéger la race humaine de par son engagement en tant que militaire, il n’en demeure pas moins que pour elle, les effusions de sang ne sont jamais garant de victoire ou de résolution de conflit. Il se refuse à faire usage de trop de force pour maintenir l’actuelle paix dans son pays et elle sait pertinemment que quand le haut commandement se lassera de l’absence de progrès dans ses travaux (autrement dit : des mutants libres et dans les rues), le fragile équilibre qu’elle maintien tant bien que mal ne sera qu’un vague souvenir. En tant que militaire, elle sait que le devoir doit passer avant tout. En tant qu’être humain, elle sait que ce sont les intérêts de x ou d’un groupe X qui doivent primer sur le reste. Mais en tant que Dominique Duval, elle sait pertinemment que si elle cause un débalancement en faisant le focus sur la race humaine sans entamer de négociations avec les mutants, les événements récents qui ont secoué le Canada et plus précisément Montréal ne seront que des feux de poubelle à côté de ce qui suivra…

Cette femme vit avec un poids énorme sur ses épaules, poids qui est excessivement malsain et excessivement stressant. Elle doit aller tant dans le même sens que son mandat qu’à contre sens. Elle doit protéger la nation canadienne mais être prête à défendre le monde entier, quitte à sacrifier le Canada dans la foulée. Elle doit se montrer impartiale et efficace mais certaines personnes haut placées voudraient qu’elle prenne parti et ferme les yeux de temps à autres. Et bien sûr il y a les hommes et les femmes qui travaillent en arrière plan sous ses ordres pendant qu’elle surveille et analyse le « cas Montréal » et prépare les négociations sur qui elle doit veiller. Dans ses phases « joyeuses », elle voit son mandat comme l’opportunité du siècle d’unir le Canada sous une même bannière où tous seront égaux (en effet, les tensions entre Québec et Ottawa avaient atteint un dangereux sommet). Dans ses phases dépressives, elle est convaincu que quelqu’un veut sa mort d’où son poste excessivement difficile à gérer. Et quel que soit la phase dans laquelle elle est, elle se sent trahit par ce pays qu’elle a juré de défendre, se remettant encore difficilement de ce dont elle fut témoin lors de sa dernière mission. La dernière car elle s’est juré de ne plus jamais quitter le pays sans y être « forcée », se disant qu’avant d’aller mettre son nez ailleurs, autant faire le ménage chez soi, ménage qui à ses yeux n’est pas une option mais une nécessité pour la sauvegarde de la démocratie.

Si le DSFAC exerce sur la général un certain effet tranquillisant, mobilisant toutes ses forces et son attention, il n’en demeure pas moins que comme tout militaire ayant eu une carrière active, le passé tente de se manifester de nouveau, de rappeler sa présence et de venir défaire ce que l’officier fait. Elle le sait qu’un jour, elle devra arrêter de retarder l’inévitable et de faire face à ses propres démons…
~

● Histoire : Dominique Duval est née à Québec, capitale de la province du même nom, de parents canadiens de descendance canadienne et ainsi de suite jusqu’à ce que l’arbre généalogique retourne en France. Personnellement, Dominique s’en moque mais son père, Richard Duval, de son vivant, avait cette passion pour la recherche de ses ancêtres. Par respect pour la mémoire de son père, Dominique s’est forcée à en mémoriser le contenu mais elle n’a pas cherché à poursuivre le travail de son père. Tient, parlant de son père, pourquoi ne pas en parler davantage? Sera abordé ensuite, cela s’impose de soit, un peu d’histoire sur sa mère pour conclure avec les origines de la général.

Richard Duval est né dans la capitale provinciale du Québec comme son fils après lui. Né le 6 mars 1943, il connu très peu la guerre, étant trop jeune pour la comprendre mais il apprit de la bouche de ses propres parents que c’était lui, Richard Duval, qui avait sauvé son père des griffes de la conscription. Pendant toute sa jeunesse, il fut bercé par cette histoire que lui contait ses parents mais malgré les accents tragiques pour le mettre en garde et le dégoûter de l’armée, Richard s’engagea quand même dans cette dernière dès qu’il en eu l’occasion. Il rejoignit donc le Canadian Operational Support Command (CANOSCOM, branche de l’armée regroupant tant le corps des ingénieurs que la police militaire, la logistique ou encore les communications) et cela causa un froid entre lui et ses parents. Il aurait pu prendre une bien mauvaise tangente si ce n’avait été de sa rencontre avec une infirmière militaire, fraîchement engagée elle aussi, Susanne Dupuis.

Faisons ici une courte pause dans la vie de Richard Duval pour se concentrer sur la future mère de Dominique Duval, Susanne Dupuis. Née quelques mois après son futur mari soit le 17 novembre 1943, dans une famille de médecins et d’infirmières, elle se rappela les discussions familiales à la table de ses grands-parents sur le fait qu’aucun Dupuis ne faisait partie des sauveurs de vie de l’armée. Élevée dans la perspective de faire la fierté de sa famille et de faire ce que personne dans la famille n’avait fait avant elle, elle s’engagea en 1961 et c’est là qu’elle rencontra une recrue de son âge traversant une mauvaise passe. Ce fut le coup de foudre entre les deux et le début d’une belle histoire d’amour venait de voir le jour alors que la guerre faisait rage dans un pays lointain et que probablement qu’ils seraient forcé de s’y joindre également…

Projetons-nous maintenant trois ans dans le futur soit en 1964. Par un incroyable coup de chance, ni Richard ni Susanne ne furent envoyés au front. On avait besoin de membres du CANOSCOM au pays et pour le cas de Susanne, on la fit affecter à un hôpital militaire canadien. Les deux tourtereaux entretenaient une relation depuis un bon moment déjà et comme il fallait s’en douter, la demoiselle Dupuis bientôt Duval) et le damoiseau Duval décidèrent de se marier. En fait… Ce n’était pas vraiment une option car au cours d’une nuit entre amoureux un peu plus… Enflammée que les autres, un pas de trop avait été franchit et la future Dominique Duval était depuis en cours de conception. Par miracle, ils purent se marier. Par miracle, personne ne soupçonna rien. Quelqu’un quelque part avait leur bonheur à cœur. Très à cœur même, pourrions-nous ajouter.

Un an plus tard, le 21 juin 1965, Dominique Duval naissait au milieu de parents aimants qui n’avaient d’yeux que pour elle. C’était il y a quarante-quatre ans, quand la vie souriait encore à la future général. Son enfance heureuse qui s’annonçait serait ensuite bien vite reléguée au rang du simple souvenir avec ce qu’il serait appelé à vivre…

Son enfance :Comme nous le disions précédemment, la vie fut douce et clémente pour la jeune Dominique Duval. Il faut bien avouer qu’en 1965, la menace mutante était loin, très loin de se profiler à l’horizon et même si les conflits mondiaux étaient tout sauf beaux, quand vous recevez tout l’amour de vos parents (ce qui compensa plus que largement son statut d’enfant unique), rien ne peut vous atteindre. Cette vérité inéluctable protégea donc la petite Dominique qui fit montre dès son jeune âge d’une maturité plus grande que ses congénères. Elle semblait toujours avoir un ou deux ans d’avance sur les autres enfants, ce qui fit que son cheminement tant scolaire qu’extra scolaire fut riche, diversifié et différent. Elle apprit très tôt à marcher et à parler et au lieu de jouer avec les jouets créés pour les enfants de son âge, elle manifestait son intérêt pour les blocs Lego ce qui étonna ses parents. Au lieu de refuser d’en acheter à sa fille, Richard affirma un jour à sa femme que « Si la vérité sort de la bouche des enfants, pourquoi ne se traduirait-elle pas par leur langage non verbal? » car selon lui, sa fille devait savoir ce qui était bon pour elle. C’était une affaire de logique. Susanne fut réticente au début mais finit par accepter. Son instinct maternel ne lui soufflant pas une menace de danger, elle décida de faire confiance à son mari. Il faisait de façon générale les bons choix et prenait les bonnes décisions : pourquoi se tromperait-il sur le cas de leur enfant? C’eut été absurde.

Elle finit par entrer à l’école primaire où Elle ne passa pas mais alors là pas du tout inaperçu. Élève prometteuse bien que farceuse, débrouillarde bien que curieuse (à la limite de la curiosité insolente même) et participative au lieu d’être timide, elle faisait à la fois la fierté de ses professeurs et le phénomène de foire de ces derniers. Comment un enfant pouvait posséder ce genre d’aptitudes? Bien vite, on cessa de se poser des questions : tant qu’elle performerait, le reste était du ressort du détail. Pourquoi s’acharner négativement sur un prodige alors que lui donner plus de liberté semblait avoir des effets excessivement positifs? Si la direction scolaire avait su plus tôt le bien que ces mesures feraient à la jeune Duval, elle aurait sans doute agit bien plus rapidement…

Chose certaine, on remarqua bien vite ses prédispositions à diriger et encadrer un groupe. Au cours de sa cinquième année, lorsqu’un mystérieux incendie se déclencha dans l’école, la jeune Dominique guida sa classe hors de l’école, sa professeure s’étant absentée pour aller à la salle de bain. Faute professionnelle de cette dernière certes mais on ne lui en tint pas rigueur pour autant. Les parents et les enseignants avaient les yeux tournés vers la petite Dominique. Cette petite était une surdouée et il fallait exploiter ce talent avant qu’il ne se ternisse et disparaisse. On voulu la faire transférer d’école. Elle refusa. On insista. Elle persista. On décida de renchérir. La gamine regarda longuement les adultes avant de lâcher d’un ton pratiquement maternel la phrase suivante : « Ce ne serait pas bien pour moi, je le dis et comme la vérité sort toujours de la bouche des enfants, c’est forcément vrai. » Son père voulu insister mais sa mère changea de camp pour supporter sa fille et la direction se rétracta. Le père s’entêta et la mère laissa tomber cet ultimatum : « Tant que tu ne respecteras pas sa décision, tu dormiras sur canapé du salon! » Deux jours plus tard, Richard Duval capitulait et Dominique poursuivait sa scolarité. Ainsi se passèrent sans incident le reste de ses années de primaire avant que la jeune femme ne soit assez vieille pour intégrer l’école secondaire et entre de le monde de l’adolescence.
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Viviana Trevisan

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MessageSujet: Re: Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails)   Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails) Icon_minitimeMar 14 Juil - 2:33

Son adolescence : Si l’enfance avait été parfaite et le début de l’adolescence somme toute acceptable, nous nous attarderons sur la fin. Plus spécifiquement quand tout commença à prendre une bien vilaine tournure. Dans un premier temps, la mort de ses parents qui étaient en mission pour le compte de l’armée canadienne de l’autre côté de l’océan dans un autre pays lointain et en guerre. En fait, ils étaient stationnés à Berlin ouest quand pour une raison encore inconnue à ce jour, un assassin vint prendre la vie de ses parents et de quatre autres soldats en permission dans un petit bar de l’endroit. Quand la nouvelle arriva aux oreilles de Dominique, elle voulu dans un premier temps tout laisser tomber. Mais d’un autre côté, il lui restait un an (elle avait alors seize ans) pour commencer ses études dans l’armée pour devenir officier. Et elle s’était jurée de suivre les traces de ses parents et de faire partie de l’armée mais elle préférait quelque chose de plus actif. Voir le terrain, voir le monde, voilà une raison de plus pour se joindre à l’armée. Et pour ce faire elle devait d’une part supporter un stress intense pour parvenir à performer au-delà de la normale et d’autre part, elle devait gérer ses émotions face à la mort de ses parents. Un vrai cauchemar pour quelqu’un ayant certes des amis mais des amis avec des parents et des parents civils. Elle se retrouvait donc virtuellement seule et cela lui pesait énormément. Elle n’en était pas moins impliquée et active. Cependant, on pouvait voir que quelque chose avait quitté de façon probablement définitive la jeune femme. C’est dans ces conditions infernales qu’elle termina son année scolaire, manquant de craquer sous la pression et elle put enfin entrer à la Canadian Forces Leadership and Recruit School, se disant que les choses finiraient bien par se régler d’elles mêmes.

Si seulement elle avait pu savoir à quel point elle se trompait… Au Canada, on est considéré majeur à dix-huit ans soit trois ans de moins que chez leur homologue états-uniens. Il reste donc suffisamment de temps pour relater l’effondrement graduel du petit monde parfait de Dominique Duval. À commencer, justement, par la Canadian Forces Leadership and Recruit School. Endroit où la future général se fit son premier vrai ennemi. Endroit où elle tuerait quelqu’un pour la première fois de sa vie. Gabriel Tremblay et Dominique Duval commencèrent à se détester pour diverses raisons. Il serait trop long ici d’en faire l’historique. Ce qu’il faut savoir c’est que ce que Dominique prenait pour une haine cordiale, Gabriel le voyait comme une haine mortelle et assassine. Et cette haine serait sa perte aux mains de son ennemie qui elle ne tenait pas mais alors là pas du tout à tuer Tremblay.

Elle revenait du bar, ayant profité de sa permission quand Gabriel l’attaqua devant témoins, clamant haut et fort que le monde serait témoin du trépas de Dominique. Tremblay avait un couteau, Duval n’avait que pour arme son propre corps. Évidemment, elle tenta de dissuader l’autre. Sans succès. Dominique en plus était sobre donc elle n’avait pas « d’excuse » pour justifier son acte. Gabriel ne voulut rien entendre et attaqua Dominique. Et Dominique comprit que ce serait une lutte à mort. L’un d’entre eux ne se relèverait pas. Elle n’était pas égoïste mais Elle avait un rêve, même brisé, à poursuivre. Et donc au final elle tua l’autre devant témoins. Elle en sortit blanchit et sans tâche mais quelque part, au fond d’elle, elle se demanderait pour le restant de ses jours si elle avait fait le bon choix.Une autre part de Dominique Duval venait de mourir. La vie lui montrait son visage cruel à nouveau. Et cette fois, il lui faudrait des années pour se relever complètement. Mais ce qu’elle ne pouvait pas savoir c’est que la vie la mettrait de nouveau à genoux en 1987. Dominique aurait alors vingt-deux ans et donc cet événement sera traité dans un autre chapitre de son existence. Celui concernant sa vie adulte.

Reste de sa vie: Histoire de faire un résumé complet, nous verrons par points les événements majeurs dans la vie de Dominique Duval depuis 1985 (ses vingt ans donc) jusqu’à aujourd’hui :

12 juillet 1987 : Dominique était sur les lieux de l’attentat du métro aux États-Unis, durant des vacances avec d’autres futurs soldats et officiers et sera appelé d’urgence à Ottawa pour faire son rapport devant des huiles lourdes de l’armée dans le cadre d’une éventuelle enquête conjointe avec l’armée américaine. Elle y arrivera seulement le 14 où elle apprendra comme les autres l’existence officielle des mutants. Décidant que Dominique avait eu une vue sur l’événement, l’armée veut la mettre en charge de l’enquête avec les chargés d’enquête américains. Le destin aura son mot à dire par contre. La future général n’étant pas américaine, on traitera la chose comme une affaire d’état et elle ne pourra donc aller prêter main forte à l’USAF. On confia donc le dossier à un officier pleinement formé, plus gradé et américain après avoir débriefé Duval.

[Classified] 1990 : Dominique Duval, pendant une mission à l’étranger, est impliqué dans la traque et la capture d’un mutant supposément chef d’une organisation terroriste. Ce sera le début de son implication forcée dans certaines missions secrètes de l’armée qui finiront toutes par impliquer au moins un mutant alors que les militaires cherchaient autre chose.

[Classified] 1995 : La nouvellement promu capitaine Duval se retrouve en Asie avec oint Task Force 2 (une unité spéciale de l’armée canadienne pour la lutte anti-terroriste) pour une autre mission secrète pour le compte du gouvernement canadien. Les britanniques ont sollicité l’aide canadienne avec de curieux événements à Hong Kong et encore une fois, Dominique sera confronté à un mutant malgré lui. Dès son retour au pays, il est débriefé et promu sans trop comprendre pourquoi au grade de major.

[Classified] 1997 : Une base au nord du Nunavut ne répond plus et encore une fois, Dominique Duval accompagne un équipe de soldats mais cette fois, elle a un groupe sous ses ordres. Ils y trouvent (devinez quoi…) encore un mutant et Dominique commence à se demander si ce n’est pas le même depuis le tout premier incident. S’attardant sur les lieux avec son équipe, elle trouve un morceau de papier vraisemblablement tombé de la poche du mutant. La chasse aux pièces de puzzle continue et l’équipe de Duval s’envolera à vitesse grand V pour les îles Saint-Pierre et Miquelon. Ils reviendront en fin 1997 et pendant trois ans, Dominique Duval « disparaît » du service actif. Elle existe, on le sait. Elle fait partie de l’armée et tout. Mais elle est consigné à la branche interne de la défense militaire canadienne pour trois ans.

[Classified] 2000 : Dominique Duval refait surface en tant que Colonel pour le compte de l’armée canadienne. Elle est affecté à la surveillance des activités des mutants sur le territoire canadien mais repartira un an plus tard pour le Moyen-Orient, cette fois pour des raisons autres que les mutants. Ces raisons sont bien connues de tous donc nous ne les rappellerons pas ici pour ne pas s’étirer.

[Classified] 2002 : Duval est hors du pays quand la première grande « manifestation mutante » se produit. Elle demande la permission de rentrer au pays. Pas avant 2003, décide Ottawa mais Duval sera transféré cantonnée en Afghanistan et ne reviendra au pays que pour 2004.

[Classified] 2004 : Le destin semble en avoir après Duval qui est arrivé en fin 2004 et a donc manqué la seconde grande « manifestation mutante ». Elle sera nommé brigadier général et envoyé d’urgence au Kazakhstan : il semblerait que quelque chose s’y trame. Nouvelle rencontre entre Dominique Duval et le mystérieux mutant de 1990. il lui échappera encore une fois et Duval restera sur place pour investigations, ordonné par Ottawa. Ce faisant, elle décidera de pousser plus avant son investigation et ne rentrera qu’au début de 2005 pour commencer à travailler sur un nouveau projet prenant place sur Grosse-île. Elle manquera la troisième grande « manifestation mutante » à cause dudit projet et ne reviendra en service actif qu’en fin septembre 2006.

Novembre 2006 : Duval est envoyé en Égypte pour ce que sera sa dernière mission de terrain en dehors du Canada par choix personnel. Le gros du dossier est classifié mais elle en reviendra traumatisé, ayant vu des horreurs innommables perpétrée par des soldats et des officiers ne répondant pas de ses ordres et se livrant à bien pire que ce qu’elle aurait pu imaginer de la par de ces soit disant défenseur de la liberté et de la démocratie.

Février 2007 : Après trois mois d’intenses négociations avec Ottawa, Duval menaçant de démissionner et de révéler aux médias ce qu’elle a vu en Égypte, elle est nommé général et mit en charge de Grosse-île sur laquelle elle dirigera la Division Spéciale des Forces Armées Canadiennes. Depuis le 5 février, Dominique Duval dirige sa division de main de maître, se coupant volontairement du reste de l’armée, bien décidée à sauver ce qui peut encore l’être, se servant de sa division uniquement pour la surveillance et la pacification quand la situation échappe au simple contrôle des forces de l’ordre. À ce jour, la DSFAC n’a pas eu à intervenir qu’une seule fois (le « cas Montréal » de 2008 dont nous ne pouvons traiter ici car le dossier est classifié) mais 2009 pourrait marquer un point tournant majeur dans son « registre d’activité »…

Petit Bonus : Beaucoup de gens au sein de l’armée se demande ce qu’est la DSFAC (Division Spéciale des Forces Armées Canadiennes) car dans les faits, on ne lui connaît ni hauts faits ni activités précises. Il est temps de révéler ce qui peut l’être sans violer la règle du secret car évidemment, certaines choses ne doivent pas être révélées.

Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails) Islandarmybasexv8


La DSFAC est un organisme créé tout spécialement pour empêcher le Canada et le Québec plus spécifiquement (étant donné que la province est plus « vulnérable » à cause de ses tensions avec le gouvernement fédéral) de sombrer dans le chaos total et l'anarchie. Il s’agit d’une instance indépendante dont le quartier général se trouve à Grosse-île désormais zone militaire interdite au public. Si ce qui se trouve en surface ressemble à n’importe quelle base conventionnelle, c’est que vous aurez été bien bernés. Le cœur et le centre névralgique des installations se trouvent sous terre, avec le réacteur nucléaire qui fait fonctionner la base, le centre de commandement et de surveillance, les laboratoires de la recherche et du développement et les réserves en tout genre.

La première trace écrite de la DSFAC remonte à 1997 alors que Dominique Duval était consignée au commandement canadien (le département de la sécurité intérieure de l’armée). La demande fut ensuite étudiée avec soin pendant près de huit ans avant que le premier ministre ne donne son aval au projet et les ressources nécessaires à Dominique pour mettre en branle son projet. Dans les faits, Dominique forme avec son groupe une entité à part entière de l’armée, avec ses propres véhicules, ses propres armes et sa propre structure de commandement. Dans la pratique, Dominique coopère, quand il y est forcé, avec tous les services du gouvernement, allant de la simple force policière en passant par la GRC et l’armée.
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MessageSujet: Re: Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails)   Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails) Icon_minitimeVen 17 Juil - 13:37

Avant le bug, Jo m'avait demandé de publier un résumé de l'histoire de Dominique, sa condition pour la validation du dit personnage. Voici donc le dit résumé:

Citation :
6 mars 1943 : Naissance de Richard Duval dans la ville de Québec, le futur père de Dominique Duval. Il est le deuxième d’une famille qui comptera trois enfants.

17 novembre 1943 : Naissance de Susanne Dupuis dans la ville de Québec, la future mère de Dominique Duval. Elle est la petite dernière d’une famille de cinq enfants.

21 juin 1961 : Première rencontre entre Richard et Susanne. C’est le coup de foudre et le début d’un grand amour.

21 juin 1964 : Conception de Dominique Duval lors d’une permission dont bénéficiaient les parents de la future générale.

21 juin 1965 : Naissance de Dominique Duval sur la base militaire de Valcartier.

6 mars 1975 : Dominique Duval fait montre de leadership et de bravoure en évacuant ses condisciples de classes hors de son école primaire au cours de sa cinquième année durant un incendie. On remarque alors ses prédispositions pour le commandement et sa grande maturité pour un âge si jeune.

7 janvier 1976 : Mort de Richard Duval, Susanne Dupuis et de deux autres soldats canadiens en Allemagne. Ils sont assassinés par un mystérieux assaillants dans un petit bar non loin de l’endroit où ils étaient en fonction. En septembre de la même année, Dominique entre au Royal Military College of Canada dans un programme préparatoire spécial pour surdoués.


13 octobre 1982 : Passage devant le conseil de discipline de Dominique Duval : forcée de se défendre contre un autre élève-officier, elle fut forcée de le tuer pour préserver la sienne. Six témoins s’entendent sur une version des faits commune ce qui blanchit la jeune femme et laisse donc son dossier sans taches.

Juin 1986 : Fin des études de Dominique Duval au le Royal Military College of Canada. Elle obtient le grade de sous-lieutenant et commencera à servir activement dans les forces régulières.

12 juillet 1987 : Dominique était sur les lieux de l’attentat du métro aux États-Unis, durant des vacances avec d’autres futurs soldats et officiers et sera appelé d’urgence à Ottawa pour faire son rapport devant des huiles lourdes de l’armée dans le cadre d’une éventuelle enquête conjointe avec l’armée américaine. Elle y arrivera seulement le 14 où elle apprendra comme les autres l’existence officielle des mutants. Décidant que Dominique avait eu une vue sur l’événement, l’armée veut la mettre en charge de l’enquête avec les chargés d’enquête américains. Le destin aura son mot à dire par contre. La future général n’étant pas américaine, on traitera la chose comme une affaire d’état et elle ne pourra donc aller prêter main forte à l’USAF. On confia donc le dossier à un officier pleinement formé, plus gradé et américain après avoir débriefé Duval.

[Classified] 1990 : Dominique Duval, pendant une mission à l’étranger, est impliqué dans la traque et la capture d’un mutant supposément chef d’une organisation terroriste. Ce sera le début de son implication forcée dans certaines missions secrètes de l’armée qui finiront toutes par impliquer au moins un mutant alors que les militaires cherchaient autre chose.

[Classified] 1995 : La nouvellement promu capitaine Duval se retrouve en Asie avec oint Task Force 2 (une unité spéciale de l’armée canadienne pour la lutte anti-terroriste) pour une autre mission secrète pour le compte du gouvernement canadien. Les britanniques ont sollicité l’aide canadienne avec de curieux événements à Hong Kong et encore une fois, Dominique sera confronté à un mutant malgré lui. Dès son retour au pays, il est débriefé et promu sans trop comprendre pourquoi au grade de major.

[Classified] 1997 : Une base au nord du Nunavut ne répond plus et encore une fois, Dominique Duval accompagne un équipe de soldats mais cette fois, elle a un groupe sous ses ordres. Ils y trouvent (devinez quoi…) encore un mutant et Dominique commence à se demander si ce n’est pas le même depuis le tout premier incident. S’attardant sur les lieux avec son équipe, elle trouve un morceau de papier vraisemblablement tombé de la poche du mutant. La chasse aux pièces de puzzle continue et l’équipe de Duval s’envolera à vitesse grand V pour les îles Saint-Pierre et Miquelon. Ils reviendront en fin 1997 et pendant trois ans, Dominique Duval « disparaît » du service actif. Elle existe, on le sait. Elle fait partie de l’armée et tout. Mais elle est consigné à la branche interne de la défense militaire canadienne pour trois ans.

[Classified] 2000 : Dominique Duval refait surface en tant que Colonel pour le compte de l’armée canadienne. Elle est affecté à la surveillance des activités des mutants sur le territoire canadien mais repartira un an plus tard pour le Moyen-Orient, cette fois pour des raisons autres que les mutants. Ces raisons sont bien connues de tous donc nous ne les rappellerons pas ici pour ne pas s’étirer.

[Classified] 2002 : Duval est hors du pays quand la première grande « manifestation mutante » se produit. Elle demande la permission de rentrer au pays. Pas avant 2003, décide Ottawa mais Duval sera transféré cantonnée en Afghanistan et ne reviendra au pays que pour 2004.

[Classified] 2004 : Le destin semble en avoir après Duval qui est arrivé en fin 2004 et a donc manqué la seconde grande « manifestation mutante ». Elle sera nommé brigadier général et envoyé d’urgence au Kazakhstan : il semblerait que quelque chose s’y trame. Nouvelle rencontre entre Dominique Duval et le mystérieux mutant de 1990. il lui échappera encore une fois et Duval restera sur place pour investigations, ordonné par Ottawa. Ce faisant, elle décidera de pousser plus avant son investigation et ne rentrera qu’au début de 2005 pour commencer à travailler sur un nouveau projet prenant place sur Grosse-île. Elle manquera la troisième grande « manifestation mutante » à cause dudit projet et ne reviendra en service actif qu’en fin septembre 2006.

Novembre 2006 : Duval est envoyé en Égypte pour ce que sera sa dernière mission de terrain en dehors du Canada par choix personnel. Le gros du dossier est classifié mais elle en reviendra traumatisé, ayant vu des horreurs innommables perpétrée par des soldats et des officiers ne répondant pas de ses ordres et se livrant à bien pire que ce qu’elle aurait pu imaginer de la par de ces soit disant défenseur de la liberté et de la démocratie.

Février 2007 : Après trois mois d’intenses négociations avec Ottawa, Duval menaçant de démissionner et de révéler aux médias ce qu’elle a vu en Égypte, elle est nommé général et mit en charge de Grosse-île sur laquelle elle dirigera la Division Spéciale des Forces Armées Canadiennes. Depuis le 5 février, Dominique Duval dirige sa division de main de maître, se coupant volontairement du reste de l’armée, bien décidée à sauver ce qui peut encore l’être, se servant de sa division uniquement pour la surveillance et la pacification quand la situation échappe au simple contrôle des forces de l’ordre. À ce jour, la DSFAC n’a pas eu à intervenir qu’une seule fois (le « cas Montréal » de 2008 dont nous ne pouvons traiter ici car le dossier est classifié) mais 2009 pourrait marquer un point tournant majeur dans son « registre d’activité »…
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Thétis
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MessageSujet: Re: Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails)   Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails) Icon_minitimeVen 17 Juil - 21:50

Fiche validée !

Merci beaucoup pour ton effort de résumé, il n'est pas du tout passé inaperçu.

Je te classe dans le groupe "Autre"

Je te recommande de faire également une fiche X en notant toutes les capacités de ton personnages au niveau de l'armement etc.

silent
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MessageSujet: Re: Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails)   Dominique Duval (Une fiche complète et exhaustive du personnage dans ses moindres détails) Icon_minitimeSam 12 Sep - 13:56

Arrêt du personnage
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