Dominique Duval

Nom Mutant : Non applicable

Nom et prénom(s) réels : Dominique Duval

Camp: Autre (armée canadienne)

Statut : Général pour le compte de l’armée canadienne et directrice de la DSFAC (« faction non jouable »)

Niveau :Non applicable

Rang : Non applicable

Stade :Non applicable

Pouvoirs : Aucun

Limitation : Aucune

Capacités spéciales : Seront notés ici l’armement de Dominique ainsi que les points divers qui font le personnage (donc des compétences tant « actives » que « passives ») :

Dominique possède une paire (donc deux) de Calico M100 (Pistolet mitrailleur léger à chargeur de 100 balles de calibre .22LR ayant une portée de 150 mètres, seul matériel militaire « non canadien » utilisé par la général) qu’elle porte sur elle lorsqu’elle doit sortir sur le terrain.

Elle dispose aussi de son arme de service, un Browning Hi-Power modifié (Pistolet automatique moyen à chargeur de 15 balles (au lieu de 13 projectiles) de calibre .40 S&W ayant une portée de 50 mètres), ayant reçu l’autorisation de ses supérieurs pour pouvoir avoir de quoi surprendre l’ennemi qui pense avoir à sa merci un ennemi ayant vidé un chargeur de dix-huit balles.

Fait à noter, pour ses déplacements terrestres, elle dispose d’un RG-31 Nyala tout ce qu’il y a de plus militaire (mais bien sûr avec tout les extras que le véhicule pouvait avoir, on est amant de la technologie ou on ne l’est pas), celui-ci disposant d’une mitrailleuse sur le toit, un véhicule tout ce qu’il y a de plus classique donc. Ce RG-31 Nyala noir ne porte aucune distinction particulière le rattachant à tel ou tel service mais on peut presque savoir d’instinct qu’il s’agit du sien.

Pour ce qui est des autres types de déplacements, elle dispose d’un hélicoptère Bell 412 (la version Military 412 SP donc « custom ») qu’elle a fait modifier pour qu’une seule personne ne soit nécessaire pour le faire fonctionner à plein rendement, armement inclus. Préférant voyager seule pour ne pas mettre en danger un éventuel garde du corps, elle représente cependant une cible de choix pour ses ennemis et elle a dû faire réparer à plus d’une occasion son fidèle appareil après un échange particulièrement musclé et un combat aérien acharné.


Dominique a été formée pour être un officier et donc a d’excellentes bases en tactique et en stratégie. En bonne militaire, elle a également été formée pour le combat avec armes à feu, armes blanches, sans armes et les bagarres de bar lui ont apprit à utiliser ce qui lui tombait sous la main (donc elle a des notions en combat de rue). Sa capacité d’adaptation impressionne même les plus grands et son don pour survivre à pratiquement tout est un avantage non négligeable qu’elle possède.

Elle est également très à l’aise avec la technologie, tant civile que militaire et tant de base qu’avancée puisque son emploi le lui oblige. Sans être de la trempe des grands génies scientifiques, sans avoir les compétences des grands informaticiens ou pirates de a technologie, elle sait quand même se défendre farouchement sur ce terrain.

Elle est aussi un survivaliste confirmée mais dans la branche plus personnelle de la chance. On ne parle pas ici de survivre à une bombe nucléaire mais de transformer des objets courants en matériel de survie et pour son cas, de survivre tout court : les attentats contre elle sont nombreux, tant par des rivaux que des anciens ennemis du champ de bataille ou des terroristes de toute faction confondue. On l’a d’ailleurs surnommé Dominique « MacGyver » Duval au sein du département de la recherche et du développement du DSFAC...

Dominique Duval : version revue, augmentée et corrigée

Dominique Duval… Un cas qui avait toujours attiré l’attention en haut lieu, tant par ce qu’elle était en tant que militaire que ce qu’elle était en tant qu’être humain. Pendant longtemps, plusieurs personnes, des huiles lourdes de l’armée, avaient été convaincues qu’il s’agissait d’une mutante : à pulvériser records sur records, à faire montre d’autant de compétences, il ne pouvait, à leurs yeux, s’agir là que d’un simple être humain. Pourtant, la médecine moderne leur donna tort et il fut prouvé hors de tout doute que Dominique était simplement une humaine avec beaucoup de talent. Certaines têtes dirigeantes virent en elle le candidat parfait pour remettre sur les rails un vieux rêve de militaire que le Canada, sur ordre de son gouvernement, avait mit au placard des années auparavant, peu après la guerre du Golfe : le projet de créer un supersoldat. Sur le papier, aucun être humain moyen n’avait de garantie sûre de survivre avec ou sans effets secondaires et les chargés de projet de l’époque s’entendaient tous pour dire qu’il faudrait un être d’exception pour faire l’affaire. Avec les problèmes apportés par les mutants et les pressions diverses des différents lobbies, le gouvernement finit par céder et remettre le projet sur les rails mais… Son cobaye venait d’être expédié dans le pays voisin. Qui plus était, il fallait garder cette initiative cachée des jaloux états-uniens qui avaient toujours chercher à s’approprier l’expertise canadienne et donc un rapatriement en bonne et due forme était à exclure. Pendant plusieurs mois, on se contenta d’étudier les possibilités du projet sans trop se formaliser d’autre chose… Jusqu’à ce que des extrémistes pro-humains fassent un attentat qui faillit prendre la vie de leur futur cobaye. En haut lui, on jubilait : quelle meilleure excuse pouvait-on avoir que d’exiger une expertise médicale canadienne pour traiter un officier canadien? Qui plus était, tant que Dominique Duval serait dans le coma, elle ne serait pas en état de protester et quand elle reprendrait conscience, il serait bien trop tard pour un refus ou un retour en arrière…

Hors donc, une fois leur colis rentré au bercail, les scientifiques militaires d’une division ne répondant pas des gens sous les ordres de Dominique se chargèrent de jouer à Dieu avec l’officier gravement blessé (lire : mourante). Faisant le nécessaire pour que leur petite substance fasse son effet, ces hommes sans scrupules avaient négligé un détail d’une rare importance : Dominique Duval avait sous ses ordres des gens qui lui étaient plus loyale à elle qu’au gouvernement qui les avaient engagés. Ayant eu vent du sort désagréable que l’on réservait à leur chef, certains avaient réussit à infiltrer le complexe pour altérer une partie du produit de sorte qu’au lui de faire une machine vivante et servile… Ils auraient pour chef une humaine surhumaine sans entrer dans la catégorie « mutant » et qui pourrait donc continuer à vivre une vie semi normale. L’information étant confidentielle mais les visites autorisées, les autorités canadiennes crurent à tort que personne ne soupçonnerait ce qui s’opérait là où reposait entre la vie et la mort la chef de la DSFAC… Et c’est donc pendant un changement de garde qu’ils firent le nécessaire pour sauver leur chef bien aimé, un acte qui pourrait leur coûter plus que leur grade voire leur vie… Mais ceux qui agirent ce soir là s’en moquaient éperdument. Concrètement, ce qu’ils firent est trop complexe pour être expliqué mais par contre il est possible d’en décrire les effets tangibles et observables par après :

-Sa compréhension de la technologie en générale fut décuplée ce qui lui confère le niveau d’un diplômé en la matière mais pas d’un expert ni d’une sommité

-Son don pour la stratégie et la tactique a été légèrement augmenté, lui permettant de reconnaître davantage de schéma et de pressentir certains mouvements ennemis possibles (manœuvres de diversion, etc.)

-Son talent pour le « bricolage » d’urgence est allé à la hausse, lui permettant d’entrevoir davantage de configurations et de solutions au matériel à sa disposition

-Ses aptitudes au combat et ses capacités d’adaptation sont équivalentes à celles des meilleurs officiers instructeurs mais encore là pas des plus grands noms dans quelque aspect du combat en soit (elle pourrait se comparer aux meilleurs des forces spéciales mais elle n’a pas la maîtrise d’un grand maître en karaté par exemple)

-Sa résistance aux maladies, aux éléments et aux milieux hostiles a grimpée en flèche, l’immunisant presque à e qu’un être humain peut endurer dans la normale et au-delà (mais par contre elle grille toujours aussi bien si on lui lance un éclair et carbonise tout autant face à un jet de flammes)

-Au niveau de l’âge, son niveau de vieillissement a été ralenti au moins de moitié et elle semble avoir « perdu » physiquement une dizaine d’année (elle a vraiment le corps d’une femme dans la trentaine, plus seulement d’apparence)

-Ses aptitudes physiques en général ont augmenté mais sans dépasser des niveaux observés chez les professionnels de diverses disciplines (donc elle ne verse pas complètement dans le surhumain)

- Son problème de sommeil, (qui fait qu’elle ne récupère pas autant ou de la même façon qu’un être humain ordinaire) est toujours présent et semble toujours n’avoir aucun effet néfaste sur la général

De ce semi échec de la part de ceux qui avaient voulu faire de Dominique un pion, il fallait se rendre à l’évidence : l’écart entre elle et le mutant s’était rapproché de façon appréciable, diminuant grandement les chances d’ne écrasante défaite en cas d’affrontement. Toutefois, restant toujours une simple humaine… Dire qu’elle ferait le poids contre un mutant « de combat » serait aussi mensonger qu’exagéré…

Quand elle revint à elle, ce ne furent pas es supérieurs qui lui révélèrent l’affaire mais ses subordonnés. Hors d’elle, elle protesta, injuriant à qui voulait l’entendre les « Salopards qui lui avait joué dedans sans sa permission ». Ivre de rage, elle arracha des mains d’un de ses supérieur son ordre de retour au États-Unis, sortit en claquant la porte, fit ses adieux à ses fidèles soldats et repartit aussi sec pour le pays voisin avec un regard tout nouveau et tout neuf sur les mutants. Quand vous êtes humain et qu’on vous considère comme une bizarrerie… Vous avez tendance à essayer de vous rapprocher de ceux qui se font regarder de la même façon. Dans les faits, Dominique Duval restait Dominique Duval. Pour la militaire… Dominique Duval avait reçu une mise à jour comme un vulgaire ordinateur et elle commença à se dénommer non sans ironie et amertume Dominique Duval 2.0…[/i]

Gestion du RP :

-L'art de tirer le diable par la queue