MOIVotre prénom : Aziliz, Az, Liz, Alis, Lili… Comme vous voulez
Votre âge : 26 bientôt, j’anticipe :p
Comment avez-vous connu le forum : Par une amie… Elle persiste à croire que je ne porte pas la poisse :p Longue vie au forum, s’il vous plaît, pour lui donner raison
MON PERSO : MALICIASurnom : Malicia
Nom, Prénom : Il y a bien longtemps, elle s’appelait Anna Marie … Elle a eu de nombreux autres noms, qu’elle n’utilise plus.
Pouvoir : Le pouvoir, ou plutôt la Malédiction de Malicia, s’éveilla à l’adolescence lorsqu’un baiser laissa son petit ami dans le coma. Lorsque sa peau touche quelqu’un, la jeune femme absorbe souvenir et force vitale. Selon la durée du contact, elle peut laisser la personne dans un état allant du vertige au coma profond (peut-être même la mort, mais elle n’a jamais vraiment voulu essayer…), apercevoir une image floue ou revivre un souvenir précis.
De plus, lorsqu’elle touche un mutant, elle absorbe son pouvoir, et la durée du contact détermine aussi le temps qu’elle pourra utiliser ce pouvoir, ainsi que sa puissance. Son pouvoir a un effet cumulatif, car si elle touche plusieurs mutants, elle peut posséder leurs pouvoir simultanément.
Limitation : Le pouvoir de Malicia en lui-même n’a pas vraiment de limites, puisqu’elle ne le contrôle pas. Elle s’impose elle-même des barrières, car elle refuse de toucher les gens, à plus forte raison les mutants, à moins d’y être vraiment obligée. Elle n’a pas non plus à subir les contraintes que peuvent rencontrer certains mutants avec leurs pouvoirs (pour prendre l’exemple d’Emma Frost, qui doit choisir entre son armure de diamant et la télékinésie, Malicia peut utiliser les deux ensembles.)
Capacités spéciales / Aptitudes : Malicia a le don de disparaître de la circulation lorsque son pouvoir a fait des ravages. Elle arriverait à survivre dans une forêt en plein hiver, avec le strict nécessaire qu’elle emporte toujours dans un sac lorsqu’elle décide de tout quitter. Cependant, depuis qu’elle fait partie des X Men, elle a prit la décision de se prendre en main une bonne fois pour toute, et d’arrêter de fuir. Ce qui ne l’empêche pas parfois de fuguer un jour ou deux pour s’isoler.
Camp : X Men
Description Physique et psychologique : Ce qui caractérise Malicia dès le premier coup d’œil, ce sont les deux mèches blanches qui encadrent son visage et qui se mêlent parfois à son épaisse chevelure châtain. De taille moyenne, Malicia est une jolie jeune femme, aux courbes gracieuses, mais qu’elle ne mettra que rarement en valeur : elle préfère les vêtements amples et longs qui la couvrent au maximum aux tenues chics et sexy qu’elle aimerait pourtant porter. A ses pouvoirs instables s’accorde un caractère tout aussi changeant. Plutôt calme, réservée et solitaire, elle pique parfois des colères sans raison apparente, et dire de façon franche, directe de froide ce qu’elle peut penser. Si elle établit des stratégies de façon posée, elle est toujours en première ligne et se lance à corps perdu dans le combat. Elle est très attachée aux gens de son camp, et sait faire la différence entre sa vie privée et une situation de danger : peu importe, qu’elle se soit engueulée avec quelqu’un dans la journée, s’il est en danger, elle volera à son secours.
Histoire : Tout commença le jour où son petit ami, Cody, tomba dans un coma profond après un baiser passionné, où elle gagna en prime une bonne partie de ses souvenir. Malicia s’enfuit de chez elle, désemparée, et complètement perdue entre sa personnalité et celle de Cody, qui s’estompa au fil des jours. Elle vécut quelques mois dans la rue avant d’être recueillie par Mystique, avec qui elle intégra la Confrérie des Mauvais Mutants. Elle multiplia les mauvais coups durant cette période, le chef-d’œuvre de l’équipe étant censé être le meurtre du Sénateur Kelly. Elle fugua avant cet ultime triomphe, ses pouvoirs trop instables lui mettaient les nerfs à vifs.
Elle voyagea longtemps, et loin de la Confrérie, jusqu’au Canada, où elle rencontra par hasard un Wolverine tout aussi perdu qu’elle. Elle décida qu’avoir un mutant avec un pouvoir de régénération sous la main pouvait lui être très utile, aussi accepta-t-elle de rester avec lui. Sauvés de Dents de Sabre par Tornade et Cyclope, Malicia et Wolverine furent amenés à l’Institut Xavier, et pour la première fois, Malicia put se faire sa propre opinion du grand ennemi de Magnéto. Et elle vit que lui pouvait l’aider, pas l’exploiter.
Mais l’intrusion de sa mère adoptive à l’institut forcera Malicia à revenir à la Confrérie, où elle fut utilisée par Magnéto. Sauvée par les X Men, ce fut une nouvelle expérience de groupe pour elle, habituée à la Confrérie où règne la loi du « chacun pour soi, même si on forme une équipe. » Première fugue, où elle restera aux abords de l’institut, où elle reviendra à peine quelques jours après.
Elle commence à côtoyer les autres élèves de l’institut Xavier, mais reste distante et sauvage les premières semaines. Malgré elle, Malicia commence même à se faire des amis, et ça lui fait un peu peur. Elle fuguera souvent les premiers mois, elle a un irrépressible besoin de solitude et d’intimité. Si jusqu’à présent, elle utilisait son pouvoir régulièrement pour assommer des humains, ou pour prendre les pouvoirs de ses collègues de la Confrérie des Mutants, elle garde un très mauvais souvenir de sa dernière expérience avec Magnéto et commence à avoir peur de blesser ses nouveaux camarades.
Pire : Bobby Drake commence à lui plaire. Mais si cette amourette lui passe assez rapidement, Malicia n’en est pas moins une jeune fille d’une vingtaine d’année qui souhaite tomber amoureuse. Et pendant ce temps, Xavier ne trouve pas comment l’aider, accentuant son désespoir. Mais elle accepte son sort, à contre-cœur. Elle se défoule sur tous ceux qui s’opposent à ce qu’elle considère comme sa nouvelle famille, et n’a pas hésité une seule seconde à frapper les membres de la Confrérie, même ceux qu’elle a connus.
Si Malicia commence à s’intégrer à l’Institut, elle ne peut pas s’empêcher de parfois rechercher la solitude et disparais parfois quelques heures, voire quelques jours, mais elle finit toujours par revenir, au moins pour observer de loin un certain français qui commence à lui plaire…