Balthazar alias Brutalis

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Vous-même


Votre prénom : Christophe


Votre âge : 21 ans


Comment avez-vous connu le forum : Par Isaac Withmore



Votre personnage


Surnom : Brutalis


Nom : Il n’en a jamais eu, mais s’il devait choisir, ce serait Withmore


Prénom : Balthazar (prénom grec signifiant « qui protège le roi », prénom qui lui sied parfaitement)


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Pouvoir :

Capacités physiques accrues : La mutation de Balthazar lui donne une puissance et une résistance physique cent fois supérieure à celle d’un humain bien entraîné. Cela inclut une force herculéenne, une vitesse de course extrêmement grande, une résistance à toute épreuve. Elle lui permet également d’effectuer d’immenses sauts lui permettant de se propulser en haut d’un bâtiment de taille modeste ainsi que de voyager entre les toits des buildings. Sa force physique lui permet de soulever toute charge allant jusqu’à un poids lourd bien rempli. Et ses puissantes jambes peuvent le propulser jusqu’à la vitesse de 75 km/h. Quant à sa résistance physique, elle lui permet de ne pas souffrir de la plupart des attaques « classiques », allant du simple coup de poing au tir d’un fusil d’assaut et lui permet évidemment de réduire les dégâts infligés par les armes plus dévastatrices.


Limitation :

Etant donné son immense puissance, Brutalis n’a aucun contrôle sur celle-ci. Il ne peut donc pas effectuer de simples tâches si elle nécessite du matériel fragile : utiliser un ordinateur, manier des armes de taille moindre qu’un lance-roquettes et même ouvrir des portes. Son pouvoir demandant énormément d’énergie, Balthazar doit manger continuellement pour avoir assez de forces pour se battre efficacement : plus il est affamé, plus son pouvoir diminue jusqu’à devenir inopérant. Cependant, son système digestif s’est adapté et est maintenant capable de retirer bien plus d’énergie des aliments que ne le ferait un système digestif humain. Cela dit, son métabolisme est tel qu’aucune masse graisseuse ne se forme dans son corps. Bien qu’il ait une grande résistance physique, Balthazar n’a aucune défense contre une autre forme d’attaque. En plus de cela, son physique a pris le pas sur son cerveau, ce qui a réduit son potentiel mental, le rendant extrêmement vulnérable à toute attaque psychique mais sa dévotion et telle, qu’il est quasiment impossible de lui faire attaquer son maître ou de le laisser mourir. Pour finir, son pouvoir est arrivé à son maximum, il ne pourra donc pas augmenter ses capacités physiques.


Capacités spéciales :

Spécialiste des rixes de bars, combats de rues et bastons générales, Brutalis s’est exercé au combat sans aucunes règles et en se servant de tout ce qu’il y a à disposition des combattants : tables, motos, poteaux électriques et même voitures. En plus de cette aptitude au combat brutal, Balthazar excelle dans le domaine de la protection et y est sans égal.


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Camp :

Celui d’Isaac Withmore, son patron. Et rien, à part un très bon lavage de cerveau, ne pourra lui faire changer de camp.


Description physique et psychologique :

Agé d’environ 18 ans (ne connaissant pas lui-même sa date de naissance), Balthazar atteint le mètre soixante-quinze pour 70 kilos. Il porte habituellement une veste en cuir noir déchiré cachant un T-shirt délavé de même couleur ainsi qu’un jean en lambeaux et une paire de rangers noirs à l’aspect quasiment neuf. Son air maussade et son regard absent sont cachés par ses longs cheveux noirs totalement décoiffés et bien souvent teintés du sang de ses défunts adversaires. Bien qu’il ne paye pas de mine, il ne faut surtout pas se fier à son physique chétif et son air hagard car il est loin d’être commode. En effet, le jeune homme fait preuve d’une double personnalité : en tant que Balthazar, il est un être doux et légèrement autiste, adorant les volatiles de petite taille et les laissant se poser sur son corps comme ils l’auraient fait sur un arbre et, l’air insouciant, il se contentait de suivre Withmore comme l’aurait fait un animal de compagnie et ne parlait en aucune occasion.

Mais, si l’on osait s’attaquer à son patron ou sur la simple demande de ce dernier, le doux Balthazar devenait le redoutable Brutalis, qui portait bien son nom : là, toute sa violence se réveillait et il prenait un malin plaisir à massacrer tout ce qui se trouvait entre son patron et l’objectif de ce dernier. Cependant sa violence était extrêmement contrôlée : en effet, si un de ses adversaires tentait d’atteindre Withmore, Brutalis se mettait le plus rapidement possible entre l’assaillant et celui qu’il devait protéger et était prêt à tout pour préserver son père adoptif. Il préférait même recevoir une pluie d’ogives nucléaires sur le crâne plutôt que de faillir à sa mission car il ne pourrait supporter son incompétence.


Histoire :

Balthazar est né à San Francisco dans une situation plus que déplaisante : en effet, sa mère, âgée de 18 ans, fut abandonnée par son compagnon, alors âgé de 23 ans, dans les dernières semaines de la grossesse. Après s’être fait lâchement abandonner par l’homme qu’elle aimait, la jeune fille n’eut pas la volonté de rester en vie après son accouchement difficile et mourut des suites de l’accouchement. Le nouveau-né fut recueilli par ses grands-parents maternels mais, vers l’âge de trois ans, le jeune Balthazar, prénom donné en hommage à l’un de ses aïeux - grec de naissance -, fut rejeté par ses grands-parents quand ils se rendirent compte qu’il n’était pas « normal » et fut mis à la rue dans les bas-fonds de la grande ville. Dans ce repaire de la pire racaille de San Francisco, le jeune mutant fut embrigadé par un groupe de brutes mutantes, appréciant les capacités du bambin, fort comme un adolescent. C’est à partir de ce moment que le jeune garçon fut entraîné par les loubards et considéré par ces derniers comme une machine à tuer ou un animal et non comme un être humain. Pendant de nombreuses années, Balthazar fut utilisé dans des combats d’enfants pour rapporter de l’argent à ceux qui s’occupaient de lui. Cependant, à l’insu de ses geôliers, Balthazar se forgeait une conscience à leur contact, certes inhabituelle, mais une conscience quand même.

Le temps passa et, aux environs de 12 ans, le jeune Balthazar, nommé « ça » par ses tuteurs, devenu bien plus fort qu’un haltérophile professionnel, commençait à être craint et redouté, non seulement par ses adversaires, mais aussi par ceux qui s’occupaient de lui. Alors, feignant une guerre entre gangs, les mutants délinquants firent tomber le petit garçon dans une embuscade et fut battu par de nombreuses personnes, craignant pour leur propre sécurité future. Surpris par la violence de ceux qui s’occupaient de lui, le jeune garçon ne put se défendre contre les premiers assauts qui le mirent à terre et il ne put donc pas se protéger contre les suivants. Gisant à terre dans une mare de sang, roué de coups et agonisant, Balthazar assistât au départ des malfrats, fiers de leurs agissements. Heureusement pour lui, les chasses aux mutants à grande échelle étaient finies depuis les exploits des étudiants et professeurs de l’Institut Xavier et le jeune garçon ne subit que l’indifférence habituelle des passants ainsi que la crainte de ceux qui les connaissait, lui ou sa réputation. Alors qu’il allait passer l’arme à gauche, le petit garçon fut secouru par un jeune homme dont l’aspect était aux antipodes de celui de Balthazar : personnage bien soigné et à l’air aimable face à la brutalité et aux guenilles de l’adolescent. Isaac Withmore, nom du bon samaritain, ramena le blessé dans un hôpital qui lui appartenait pour qu’il soit soigné par les meilleurs et rapidement remis sur pieds.

Une fois réveillé, Balthazar fut effrayé par toute la gentillesse que l’on déployait à son égard et, voulant fuir cette situation qu’il n’arrivait point à assimiler, s’échappa de la chambre, bousculant quelques infirmières, surprises par le rapide rétablissement du jeune patient qui, de son côté, courrait à travers l’hôpital, souffrant le martyre à chacun de ses pas affolés. Errant dans les couloirs, Balthazar arriva enfin dans un endroit où il se sentait bien plus à l’aise : le toit de l’établissement. En effet, dans les endroits à l’air libre, loin de la cohue et de la folie des humains, le jeune garçon pouvait retrouver les êtres qu’il appréciait : les oiseaux. Dans ce lieu où il retrouvait son calme, Balthazar s’assit sur le rebord du toit et laissa les oiseaux se poser sur lui et se mit à somnoler. C’est alors qu’il rencontra son sauveur : Isaac Withmore. Ce dernier se présenta au jeune garçon et le rassura. Le considérant comme son sauveur, Balthazar contracta instinctivement une dette de vie envers Withmore même après qu’il fit place à son alter ego, Mr. Iwantmore. La seconde personnalité du philanthrope lui dévoila que sa nature sympathique n’était qu’une couverture et qu’il était bien plus sadique sous la surface mais qu’il ne pouvait se défendre seul contre les dangers publics qui sévissaient sur la planète. Comprenant parfaitement qu’il pourrait rembourser sa dette en affrontant les adversaires du notable, le jeune garçon accepta avec enthousiasme l’offre de son sauveur : devenir son garde du corps.

Mais, pour pouvoir protéger efficacement Withmore, Balthazar demanda à son « patron » de l’entraîner le plus durement possible pour qu’il améliore ses capacités. Son protecteur accéda à sa requête et lui construisit un centre d’entraînement personnel, sous l’hôpital. Bien que n’étant pas aussi sophistiqué que la Danger Room de l’Institut Xavier, Ce centre permit au jeune Balthazar, qui n’avait nul besoin d’un entraîneur, de pousser ses pouvoirs jusqu’à leur limite et même de les dépasser. Durant l’entraînement, Balthazar se concentrait toute la partie violente et malveillante de son cerveau, tout en gardant en tête sa mission de protection, pour améliorer ses capacités au corps à corps, créant ainsi, artificiellement une seconde personnalité, nommée Brutalis, ce qui lui permit de s’adapter à la schizophrénie d’Isaac. Balthazar tenta, en vain, de s’initier aux arts martiaux et à la maîtrise des armes blanches et à feu, et se restreint à se battre de façon imprévisible et brutale et à utiliser des armes improvisées de gros calibre en tout genre. Vers l’âge de 16 ans, Brutalis devint officiellement le garde du corps de Mr. Iwantmore tout en continuant à s’entraîner pour sans cesse devenir plus puissant encore. Voulant que son protecteur paraisse « normal », Withmore lui appris à lire et à écrire, chose qui lui manquait cruellement. Alors qu’avec Isaac Withmore, Balthazar passait pour être un simplet autiste recueilli par le bon samaritain, Brutalis, homme de main et garde du corps de Mr Iwantmore, était considéré comme un être d’une extrême violence et éternellement plongé dans une folie pure, où il n’entendait que la voix de son maître. Deux années passèrent et Balthazar arrêta ses entraînement pour rentrer totalement au service d’Isaac Withmore.